La première partie, Enfants du lichen, souligne avec tendresse et désir de guérison l’urgence de ne pas fermer les yeux sur les disparitions d’enfants et de femmes, sur l’exclusion, les dépossessions et le mépris. Avec la seconde, Une balle en réserve, la colère reprend ses droits. Ces deux volets indissociables font appel au devoir de mémoire.