Le premier jour : Éclosion de la grippe géorgienne. On estime qu’elle pourrait contaminer 99% de la population. Deux semaines plus tard : La civilisation s’est effondrée. Vingt ans après : Une troupe présente des concerts et des pièces de théâtre aux communautés regroupées dans des campements de fortune. La vie semble de nouveau possible. Mais l’obscurantisme guette, menaçant les rêves et les espérances des survivants. Roman phénomène publié dans une vingtaine de pays, Station Eleven illustre brillamment que l’art, l’amitié, la résilience et ce qui nous unit permettent de tout traverser, même une fin du monde.(Les Libraires)